l'article en question :
https://www.paris-normandie.fr/id156545 ... -malgre-la
je pense pas que les clubs feront n'importe quoi. Ils ont des éléments en mains que l'on n'a pas, donc donnons leur du crédit.
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l'article en question :
Probablement non. En tout cas moi modestement je ne prétends pas du tout être mieux placé qu'eux pour juger. Maintenant j'observe et je constate qu'ils espèrent des trucs qui ne viennent pas et qu'ils s'y accrochent sans lâcher. Comme s'ils étaient complétement déconnectés de la réalité. Deux fois de suite ( échéance 15 décembre puis 20 janvier ), ils ont cru, en sous-estimant la situation qu'ils allaient reprendre normalement... Alors qu'on savait très bien que ça n'allait pas le faire. La situation continue de se dégrader, les restrictions sont de plus en plus dures mais non ils croient toujours sauver la saison en pensant que le public va revenir en mars qu'ils vont toucher des aides rapidement ( alors qu'il y a plein d'autres secteurs prioritaires avant ). Je demande simplement qu'ils soient lucides et réalistes. Là, ils sont obnubilés et enfermés dans leur volonté de ne pas faire saison blanche et font des prévisions ( aides, public ) compléments utopiques...
les aides ça ne paraît pas totalement utopiqueDiablotin05 a écrit : ↑15 janv. 2021, 19:04Probablement non. En tout cas moi modestement je ne prétends pas du tout être mieux placé qu'eux pour juger. Maintenant j'observe et je constate qu'ils espèrent des trucs qui ne viennent pas et qu'ils s'y accrochent sans lâcher. Comme s'ils étaient complétement déconnectés de la réalité. Deux fois de suite ( échéance 15 décembre puis 20 janvier ), ils ont cru, en sous-estimant la situation qu'ils allaient reprendre normalement... Alors qu'on savait très bien que ça n'allait pas le faire. La situation continue de se dégrader, les restrictions sont de plus en plus dures mais non ils croient toujours sauver la saison en pensant que le public va revenir en mars qu'ils vont toucher des aides rapidement ( alors qu'il y a plein d'autres secteurs prioritaires avant ). Je demande simplement qu'ils soient lucides et réalistes. Là, ils sont obnubilés et enfermés dans leur volonté de ne pas faire saison blanche et font des prévisions ( aides, public ) compléments utopiques...
Quand je voit que maintenant, ils espèrent du public en mars, ya un moment faut être sérieux.
Je rappelle aussi qu'à l’automne, tous les clubs ont "gueulés" en disant que jouer à huis-clos était impossible, que si on jouait à huis-clos c'était la faillite des clubs etc etc et là ils sont tous prêts à jouer à huis-clos jusqu'en mars ? Encore une fois je ne juges pas, je constate simplement![]()
et si la fédé n 'arrête pas car elle n'a pas était imposé par l'état et qu'au contraire le ministère des sports impose au club professionnel de jouer et qu'un club décide de porter cela devant les tribunaux car il estime être lésé car pas beaucoup de perte et qu'il estime avoir perdu une chance pourrait il demander des dommages et interêt à la fédération ?
il y a un peu de ça, la réalité c est que si la fédé en accord avec les clubs arretent la saison, le chomage partiel saute,financièrement ce sera le chaos car les joueurs ont des ctrats à honorerdrap a écrit : ↑15 janv. 2021, 20:56et si la fédé n 'arrête pas car elle n'a pas était imposé par l'état et qu'au contraire le ministère des sports impose au club professionnel de jouer et qu'un club décide de porter cela devant les tribunaux car il estime être lésé car pas beaucoup de perte et qu'il estime avoir perdu une chance pourrait il demander des dommages et interêt à la fédération ?
je pense que chaque club devra négocier des départs et donc payer des indemnités aux joueurs pour moi si c'est pas une annonce gouvernementale, le ministère impose que les championnats pro aillent au bout
sauf qu'on en revient que ce n'est pas une décision gouvernementale et donc que les clubs devront négocié des indemnités de départs et je pense que si un joueur va devant le tribunal il pourrait avoir gain de cause si il n'a pas d'indemnité de départ
Ce sera une décision de la fédé d'arrêter les championnats.drap a écrit : ↑15 janv. 2021, 22:16sauf qu'on en revient que ce n'est pas une décision gouvernementale et donc que les clubs devront négocié des indemnités de départs et je pense que si un joueur va devant le tribunal il pourrait avoir gain de cause si il n'a pas d'indemnité de départ
tous les clubs ne demandent pas l'arrêt déjà et j'en reviens sur le sujet que la fédé dépend du ministère qui lui impose la continuation des championnat professionnel donc la fédé irait à l'encontre du ministère et du coup il n'y aurait a mon sens plus d'aide versé par l'état et je rappelle qu'il n'y a pas que les joueurs dans ce cas la mais aussi pour certains des secrétaires et autre dans les bureaux .loule a écrit : ↑15 janv. 2021, 22:23Ce sera une décision de la fédé d'arrêter les championnats.
A mon avis, il n'y aura pas d'indemnités à négocier. Si c'était le cas, les clubs ne demanderaient pas un arrêt de la saison. Et continueraient à se faire payer leurs joueurs (et autres employés) par l'assurance chômage jusqu'en mai.
pour moi il serait toujours salarié du club quand même sauf si le club négocie un départ mais le contrat ne peux pas etre rompu ainsi par décision de la fédération et non par l'état
C'est comme un licenciement économique. une boite perd un contrat qui fait l'essentielle ou la totalité de son activité heureusement qu'elle ne peut pas mettre fin au contrat comme ça sans rien devoir. C'est le rêve de certains mais on y est pas encote.
Je te suis tout à fait dans ton raisonnement et j'ai peine à croire qu'un J.Reboh, qui affirmait que la situation n'était pas viable avec une prolongation du huis clos au delà du 20 janvier, ait perdu sa lucidité et se soit laissé entrainer dans cette vision utopique uniquement par envie de jouer et pour éviter une saison blanche.Diablotin05 a écrit : ↑15 janv. 2021, 19:04Probablement non. En tout cas moi modestement je ne prétends pas du tout être mieux placé qu'eux pour juger. Maintenant j'observe et je constate qu'ils espèrent des trucs qui ne viennent pas et qu'ils s'y accrochent sans lâcher. Comme s'ils étaient complétement déconnectés de la réalité. Deux fois de suite ( échéance 15 décembre puis 20 janvier ), ils ont cru, en sous-estimant la situation qu'ils allaient reprendre normalement... Alors qu'on savait très bien que ça n'allait pas le faire. La situation continue de se dégrader, les restrictions sont de plus en plus dures mais non ils croient toujours sauver la saison en pensant que le public va revenir en mars qu'ils vont toucher des aides rapidement ( alors qu'il y a plein d'autres secteurs prioritaires avant ). Je demande simplement qu'ils soient lucides et réalistes. Là, ils sont obnubilés et enfermés dans leur volonté de ne pas faire saison blanche et font des prévisions ( aides, public ) compléments utopiques...
Quand je voit que maintenant, ils espèrent du public en mars, ya un moment faut être sérieux.
Je rappelle aussi qu'à l’automne, tous les clubs ont "gueulés" en disant que jouer à huis-clos était impossible, que si on jouait à huis-clos c'était la faillite des clubs etc etc et là ils sont tous prêts à jouer à huis-clos jusqu'en mars ? Encore une fois je ne juges pas, je constate simplement![]()
j'ai trouvé cela sur un site d'avocat certes elle date de 2020 mais on peut aussi dire qu'elle fonctionne pour cette année non?DJEFFI38 a écrit : ↑16 janv. 2021, 10:26Je te suis tout à fait dans ton raisonnement et j'ai peine à croire qu'un J.Reboh, qui affirmait que la situation n'était pas viable avec une prolongation du huis clos au delà du 20 janvier, ait perdu sa lucidité et se soit laissé entrainer dans cette vision utopique uniquement par envie de jouer et pour éviter une saison blanche.Diablotin05 a écrit : ↑15 janv. 2021, 19:04Probablement non. En tout cas moi modestement je ne prétends pas du tout être mieux placé qu'eux pour juger. Maintenant j'observe et je constate qu'ils espèrent des trucs qui ne viennent pas et qu'ils s'y accrochent sans lâcher. Comme s'ils étaient complétement déconnectés de la réalité. Deux fois de suite ( échéance 15 décembre puis 20 janvier ), ils ont cru, en sous-estimant la situation qu'ils allaient reprendre normalement... Alors qu'on savait très bien que ça n'allait pas le faire. La situation continue de se dégrader, les restrictions sont de plus en plus dures mais non ils croient toujours sauver la saison en pensant que le public va revenir en mars qu'ils vont toucher des aides rapidement ( alors qu'il y a plein d'autres secteurs prioritaires avant ). Je demande simplement qu'ils soient lucides et réalistes. Là, ils sont obnubilés et enfermés dans leur volonté de ne pas faire saison blanche et font des prévisions ( aides, public ) compléments utopiques...
Quand je voit que maintenant, ils espèrent du public en mars, ya un moment faut être sérieux.
Je rappelle aussi qu'à l’automne, tous les clubs ont "gueulés" en disant que jouer à huis-clos était impossible, que si on jouait à huis-clos c'était la faillite des clubs etc etc et là ils sont tous prêts à jouer à huis-clos jusqu'en mars ? Encore une fois je ne juges pas, je constate simplement![]()
Maintenant, les clubs de hockey ont l'habitude de naviguer avec du prévisionnel et peut-être que les aides de l'état annoncées ( si elles sont bien versées) + un petit coup de pouce (hypothétique également) des sponsors, leur permettraient de tenir jusqu'en mars ... mais je suis quand même trés sceptique![]()
Quant à ceux qui disent que les clubs seraient obligés de verser des indemnités de rupture de contrat aux joueurs si la saison s'arrêtait, ça me semble complètement absurde. En effet les clubs n'ont plus actuellement d'activité générant des recettes et ça suffit à entrainer le chômage jusqu'à la fin des contrats des joueurs, que ce soit le gouvernement ou la fédération qui décide de l'arrêt du championnat.
A situation exceptionnelle solution exceptionnelle : les restaurants sont dans le même cas et je ne vois pas pourquoi les sportifs ne seraient pas indemnisés par le chômage de la même façon que les employés de la restauration.drap a écrit : ↑16 janv. 2021, 10:50
Notamment les clubs pourraient-ils invoquer ces décisions fédérales ou les difficultés économiques découlant de la crise sanitaire pour rompre les contrats en cours ?
S’agissant de contrats à durée déterminée l’invocation de simples difficultés économiques pour rompre le contrat est exclue en application d’une jurisprudence constante
sauf que la encore les restaurants sont fermés par le gouvernement hors le gouvernement n'a pas fermé l'accès aux sports des clubs professionnel et donc ils peuvent exercés leur activité .DJEFFI38 a écrit : ↑16 janv. 2021, 12:40A situation exceptionnelle solution exceptionnelle : les restaurants sont dans le même cas et je ne vois pas pourquoi les sportifs ne seraient pas indemnisés par le chômage de la même façon que les employés de la restauration.drap a écrit : ↑16 janv. 2021, 10:50
Notamment les clubs pourraient-ils invoquer ces décisions fédérales ou les difficultés économiques découlant de la crise sanitaire pour rompre les contrats en cours ?
S’agissant de contrats à durée déterminée l’invocation de simples difficultés économiques pour rompre le contrat est exclue en application d’une jurisprudence constante
Les restaurants sont exactement dans le même cas que les clubs de sport ... ils ne sont pas fermés mais ont l'interdiction de recevoir des clients en salle.drap a écrit : ↑16 janv. 2021, 12:44sauf que la encore les restaurants sont fermés par le gouvernement hors le gouvernement n'a pas fermé l'accès aux sports des clubs professionnel et donc ils peuvent exercés leur activité .DJEFFI38 a écrit : ↑16 janv. 2021, 12:40A situation exceptionnelle solution exceptionnelle : les restaurants sont dans le même cas et je ne vois pas pourquoi les sportifs ne seraient pas indemnisés par le chômage de la même façon que les employés de la restauration.drap a écrit : ↑16 janv. 2021, 10:50
Notamment les clubs pourraient-ils invoquer ces décisions fédérales ou les difficultés économiques découlant de la crise sanitaire pour rompre les contrats en cours ?
S’agissant de contrats à durée déterminée l’invocation de simples difficultés économiques pour rompre le contrat est exclue en application d’une jurisprudence constante