s'il y a l'equipe du racing strasbourg qui joue en meme temps, ils passent parfois des matchs pour permettre au commentateur de retrouver ses esprit apres chaque but encaisse par cette equipe de merde.
Cela dit, pour une finale de championnat de France, y aura peut etre une exception, ca serait la moindre des choses!
Combien de tourangeaux sont attendus a Mulhouse?
Cote mulhousiens, des nouvelles des Elsass Frei Crew ou des Illberg Celtics? Ces groupes ont ils prevu de se rendre a Tours?
Salut à tous/toutes :
Des utilisateurs tentent de poster des liens vers des sites afin d'améliorer leur SEO (référencement naturel, positions sur Google)
C'est bien sûr interdit... Si vous voyez ce genre de messages, signalez-nous ça et nous ferons le ménage.
Nous avons déjà supprimé messages/comptes. Mais on peut passer à côté.
N'hésitez pas !
Bonne saison 2023 2024 !!
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mulhouse-tours match 1 (finale)
Modérateur : Administrateurs
Ultras Mulhouse
respect à l'Interdit de H-A! seb_ruda on est avec toi!!
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Oui, je suis curieux de savoir combien de Tourangeaux sont attendus à Mulhouse!!!
Quelqu'un peut me répondre?
Apparament les Illberg Celtic (groupuscule discident des Illberg Boys) ne seront pas du déplacement compte tenu de leurs problèmes avec les anciens Illberg Boys qui eux seront présents en indeps (sous le nom de Casual Firm Mulhouse).
Toujours pas de nouvelles de l'Elsass Frei Crew mais d'après certaines sources les téléphones chauffent et on pourrait avoir un très grosse surprise.
Quelqu'un peut me répondre?
Apparament les Illberg Celtic (groupuscule discident des Illberg Boys) ne seront pas du déplacement compte tenu de leurs problèmes avec les anciens Illberg Boys qui eux seront présents en indeps (sous le nom de Casual Firm Mulhouse).
Toujours pas de nouvelles de l'Elsass Frei Crew mais d'après certaines sources les téléphones chauffent et on pourrait avoir un très grosse surprise.
Ultras Mulhouse 2000
Marginal supporters
WE ARE BACK....
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il faut maintenant penser a la finale entre deux belles équipes mulhouse et tours et que le hockey soit enfin au rendez vous ainsi que les supporteirs des 2 camps bien unis pour une fois afin de montrer que le hockey c'est aussi une bonne solidarite entre publiques aimant leurs équipe et en faire une fete la fete du hockey tours ou mulhouse il nous faut une finale merveilleuse et faire taire cezux qui traitent encore les deux équipes de final de mercenaires que le meilleurs gagne et bon match aux deux équipes . bien sur je suporte quand meme les diables noirs de tours. :ph34r:
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seb the black devil
- Minime
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a mon avis il y aura pas beaucoup de tourangeaux a mulhouse
bienvenu en enfer : rue de l'élysée
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SuperTourangeau
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ah Pelé, si tu fais le déplacement lundi soir, n'oublie pas ton drapeau, y'aura la télé :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol:
ST
))
ST
))
Article de l equipe . fr
Un duel de novices
A partir de vendredi soir en Alsace, la finale de la Ligue Magnus oppose Mulhouse et Tours, deux équipes guère habituées à atteindre ce stade de la compétition. Avant cette finale disputée au meilleur des trois matches, les deux équipes faisaient plutôt figure d'outsiders : Tours avait réussi une bonne saison, se classant deuxième de la phase régulière, alors que Mulhouse avait accroché une honorable quatrième place. Toutefois, le manque d'expérience des deux équipes dans les play-offs semblait être un lourd handicap. Elles sont parvenues malgré tout à faire tomber les favoris attendus.
Mulhouse, qui dispute sa toute première finale de Championnat de France, s'est ainsi débarrassé en demi-finale de Rouen (3 victoires à 1), pourtant en tête du classement à l'issue de la phase régulière. Les Alsaciens, qui comptent plusieurs joueurs étrangers de très bon niveau dans leurs rangs, avaient sorti Briançon en quarts de finale (3-1). En perte de vitesse en fin de saison régulière, les Mulhousiens ont redressé la barre au bon moment et réussi d'excellents matches de play-offs.
Ecrire l'histoire
Ils ne comptent pas s'arrêter si près du but: «Une finale c'est fait pour être gagné, clame ainsi le capitaine Lionel Bilbao. On veut écrire l'histoire et ne pas avoir de regrets». Tours de son côté a déjà remporté un titre de Champion de France, du temps de ses années glorieuses, en 1980. Les Tourangeaux n'avaient pas les faveurs des pronostics en début de saison mais ont été la révélation de la phase régulière, à l'image de leur jeune gardien slovaque Ramon Sopko (23 ans), étincelant.
En play-offs, ils sont successivement venus à bout d'Angers (3-1) en quarts de finale, avant d'évincer Grenoble de justesse (3-2) en demi-finale. Les joueurs de Robert Millette disposent d'un léger avantage psychologique puisqu'ils ont battu Mulhouse à deux reprises en phase régulière (3-2, 5-3). «Je retiens avant tout qu'on a bataillé dur pour finir deuxième de la saison régulière, ce qui permet de disputer la belle éventuelle à domicile», estime le technicien canadien, anticipant d'ores et déjà des débats acharnés. Le public tourangeau, après avoir célébré la Ligue des champions remportée dimanche par le Tours volley-ball, espère avoir rapidement un nouveau titre à fêter.
Un duel de novices
A partir de vendredi soir en Alsace, la finale de la Ligue Magnus oppose Mulhouse et Tours, deux équipes guère habituées à atteindre ce stade de la compétition. Avant cette finale disputée au meilleur des trois matches, les deux équipes faisaient plutôt figure d'outsiders : Tours avait réussi une bonne saison, se classant deuxième de la phase régulière, alors que Mulhouse avait accroché une honorable quatrième place. Toutefois, le manque d'expérience des deux équipes dans les play-offs semblait être un lourd handicap. Elles sont parvenues malgré tout à faire tomber les favoris attendus.
Mulhouse, qui dispute sa toute première finale de Championnat de France, s'est ainsi débarrassé en demi-finale de Rouen (3 victoires à 1), pourtant en tête du classement à l'issue de la phase régulière. Les Alsaciens, qui comptent plusieurs joueurs étrangers de très bon niveau dans leurs rangs, avaient sorti Briançon en quarts de finale (3-1). En perte de vitesse en fin de saison régulière, les Mulhousiens ont redressé la barre au bon moment et réussi d'excellents matches de play-offs.
Ecrire l'histoire
Ils ne comptent pas s'arrêter si près du but: «Une finale c'est fait pour être gagné, clame ainsi le capitaine Lionel Bilbao. On veut écrire l'histoire et ne pas avoir de regrets». Tours de son côté a déjà remporté un titre de Champion de France, du temps de ses années glorieuses, en 1980. Les Tourangeaux n'avaient pas les faveurs des pronostics en début de saison mais ont été la révélation de la phase régulière, à l'image de leur jeune gardien slovaque Ramon Sopko (23 ans), étincelant.
En play-offs, ils sont successivement venus à bout d'Angers (3-1) en quarts de finale, avant d'évincer Grenoble de justesse (3-2) en demi-finale. Les joueurs de Robert Millette disposent d'un léger avantage psychologique puisqu'ils ont battu Mulhouse à deux reprises en phase régulière (3-2, 5-3). «Je retiens avant tout qu'on a bataillé dur pour finir deuxième de la saison régulière, ce qui permet de disputer la belle éventuelle à domicile», estime le technicien canadien, anticipant d'ores et déjà des débats acharnés. Le public tourangeau, après avoir célébré la Ligue des champions remportée dimanche par le Tours volley-ball, espère avoir rapidement un nouveau titre à fêter.
<!--QuoteBegin-Tito+Mar 31 2005, 16:51--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Tito @ Mar 31 2005, 16:51)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> «Une finale c'est fait pour être gagné, clame ainsi le capitaine Lionel Bilbao.
[/quote]
Il en est à sa 4ème finale, 3 de perdue, espéront que ce soit la bonne ce coup ci !
ALLEZ MULHOUSE !! ALLEZ
[/quote]
Il en est à sa 4ème finale, 3 de perdue, espéront que ce soit la bonne ce coup ci !
ALLEZ MULHOUSE !! ALLEZ
Pour défendre une cause l'avocat met sa robe, la femme l'enlève .
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mutley
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<!--QuoteBegin-Pelé.bc+Mar 31 2005, 14:10--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Pelé.bc @ Mar 31 2005, 14:10)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> Oui, je suis curieux de savoir combien de Tourangeaux sont attendus à Mulhouse!!!
Quelqu'un peut me répondre?
[/quote]
De toute façon avec l'ambiance qu'il y aura (qui sera sûrement meilleure que celle de la semaine dernière) qu'il y est des supporters de Tours ou pas, ça changera rien on les entendra pas chez nous
Quelqu'un peut me répondre?
[/quote]
De toute façon avec l'ambiance qu'il y aura (qui sera sûrement meilleure que celle de la semaine dernière) qu'il y est des supporters de Tours ou pas, ça changera rien on les entendra pas chez nous
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pas mal l'article
j'espère pouvoir assister au match 2 lundi avec mes collègues, s'il reste des places...
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NABULIO
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"J'espère" LOL, dépêche toi, car cet après midi, mon pote a pris au siège social les places réservées la veille par téléphone, et c'était noir de monde. M'est avis, que samedi, ce sera déjà trop tard.
Ce soir (vendredi) je ne pourrai pas me rendre à Mulhouse pour ce match...
J'aurai donc vu certains joueurs pour la dernière fois à l'Illberg la semaine passée...
On va pas faire dans le mélo mais il faut quand même réaliser qu'un gars comme Steven Reinprecht, qui a tellement apporté par son jeu et sa gentillesse, va faire sa dernière prestation sur notre glaçon alsacien...
Après tout, pour les autres joueurs sous contrat, il se pourrait bien qu'ils ressignent tous... pourquoi pas!
Donc pour Steven, j'ose espérer que les 2000 présents lui rendront un hommage qu'il ne pourra pas oublier (même si c'est plutôt devant 20 000 spectateurs qu'il est habitué à jouer)
Merci Steven
J'aurai donc vu certains joueurs pour la dernière fois à l'Illberg la semaine passée...
On va pas faire dans le mélo mais il faut quand même réaliser qu'un gars comme Steven Reinprecht, qui a tellement apporté par son jeu et sa gentillesse, va faire sa dernière prestation sur notre glaçon alsacien...
Après tout, pour les autres joueurs sous contrat, il se pourrait bien qu'ils ressignent tous... pourquoi pas!
Donc pour Steven, j'ose espérer que les 2000 présents lui rendront un hommage qu'il ne pourra pas oublier (même si c'est plutôt devant 20 000 spectateurs qu'il est habitué à jouer)
Merci Steven
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seb the black devil
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en tout cas le coach mulhousien respecte tours, ca change
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svensk68
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Voici ce que j'ai trouvé dans L'Alsace de ce matin:
<span style='color:blue'>Pas de poisson les Scorpions
La finale de la Ligue Magnus, disputée au meilleur des trois matches, débute aujourd'hui (20 h) à l'Illberg. Sur sa glace et avant de poursuivre la série du côté de Tours, le HC Mulhouse n'a pas le droit à l'erreur. Il doit vaincre.
Depuis la qualification pour la finale, décrochée samedi dernier face à Rouen, ils sont plusieurs Scorpions à scruter le calendrier avec impatience. « Les jours deviennent de plus en plus longs, c'est terrible, soupirait, hier encore, l'attaquant Juho Jokinen à la sortie de l'entraînement. Maintenant on a vraiment hâte d'y être et de mordre dans cette finale ». Aujourd'hui, donc, ils y sont. Ce soir, plus précisément, le HC Mulhouse va lancer son ultime défi de la saison face à Tours et rentrer de plain-pied dans la première finale de son histoire. Un événement qui a créé une véritable effervescence autour et au sein du club mulhousien ces derniers jours. « Plusieurs équipes de la télé se sont succédé, le bureau du club a été pris d'assaut, Reinprecht est beaucoup sollicité et, d'une manière générale, la température ne cesse de monter, explique l'entraîneur mulhousien, Christer Eriksson. On découvre ce qu'est un événement. L'important désormais, c'est de garder les pieds sur terre et de jouer notre meilleur hockey dès ce vendredi ».
« Ça va être un terrible combat »
Pour précisément « garder les pieds sur terre », les Scorpions pourront s'appuyer sur une méthode assez simple. Celle-ci consistera à se souvenir des deux défaites concédées face à ces mêmes Tourangeaux lors de la phase régulière (3-2 à Tours et 5-3 à l'Illberg). « C'est la seule équipe qui a nous a battus à chaque fois, souligne le Canadien Greg Day. On sait donc que cette série sera terrible de la première à la dernière minute. Tours, c'est costaud, ça joue très physique. On se souvient avoir eu du mal à bouger leur défense. Ils ont aussi un super gardien (Sopko). Ça va être forcément très serré ». Face à une formation tourangelle arrivée à la seconde place de la phase régulière et qui vient de s'offrir le scalp de Grenoble en demi-finale, les Mulhousiens s'attendent légitimement à souffrir. Mais la spirale positive dans laquelle ils se trouvent depuis l'entame des play-offs leur donne confiance et courage. « On a montré de quoi nous étions capables face à Briançon et Rouen, rappelle Christer Eriksson. Comme Tours, mon équipe sait gagner avec la "gnac" et les tripes. Cela va être un terrible combat entre deux adversaires capables de l'emporter. Celui qui se montrera le plus opportuniste, le plus rigoureux, sera champion de France ». Si Tours prend évidemment un malin plaisir à mettre en exergue l'armada offensive du HCM et à répéter son statut « d'outsider » pour cette finale inédite, il n'en disposera pas moins d'un avantage : celui de pouvoir évoluer à domicile en cas de troisième et dernier match. Un véritable bonus quand on sait que les Diables noirs sont quasiment invincibles sur leur petite glace (2 défaites en 19 matches depuis le début de saison). Tours peut devenir champion de France en gagnant tout à domicile. Le HCM, lui, devra impérativement gagner sur les bords de la Loire. Deux fois en cas de défaite ce soir, une fois en cas de succès. « Alors évidemment, ce premier match va avoir une importance cruciale, dit Christer Eriksson. Mais on ne va pas changer notre manière d'aborder les matches les uns après les autres. On sera au combat du début à la fin et puis c'est tout. On fera les calculs plus tard. Je n'ai pas besoin de motiver les gars. Ils veulent être champions et vont tout faire pour le devenir .</span>
Et encore un bel article sur Steven Reinprecht:
<span style='color:blue'>Reinprecht : les adieux à l'Illberg
C'est avec une « pointe de tristesse » que Steven Reinprecht disputera tout à l'heure son dernier match sur la glace mulhousienne.
Les 2000 spectateurs qui garniront ce soir les gradins de la patinoire mulhousienne seront des privilégiés. Et ce à double titre. Ils auront d'abord la chance d'assister aux premiers pas du HC Mulhouse dans une finale de championnat de France. Mais ils seront aussi les derniers à pouvoir admirer, pendant 60 minutes au moins, le génial talent de Steven Reinprecht sur la glace de l'Illberg. C'est bien connu, toutes les histoires ont une fin, même les plus belles. Celle d'un champion du monde canadien débarqué sur le sol alsacien à l'automne 2004 pour prendre part à une exotique Ligue Magnus, dont il ignorait tout avant de traverser l'Atlantique, est en passe de se terminer.
« L'Espagne m'attire »
Lundi prochain, mardi au plus tard, lorsque le nouveau champion de France sera connu, Steven Reinprecht tournera en effet la page mulhousienne et même française. Prêt à vivre de nouvelles aventures, dans son club de Calgary, si la NHL reprend ses droits, ou ailleurs. Lové dans le canapé rouge qui décore la salle de repos des Scorpions, l'intéressé dit « ne pas trop savoir ». A quelques heures de faire ses adieux au public mulhousien, il préfère d'ailleurs ne pas trop y penser. « Il y a d'abord un titre à aller chercher contre Tours, glisse-t-il timidement. J'aimerais vraiment aller au bout avec cette équipe et gagner ce premier titre dans l'histoire du club. Après je ne sais pas exactement ce que je ferai. Je vais probablement voyager un petit peu. L'Espagne m'attire. J'attendrai de savoir si je suis retenu avec l'équipe du Canada pour les prochains Mondiaux, auquel cas je retournerai rapidement travailler en Amérique ».
« J'ai beaucoup appris à Mulhouse »
Quoiqu'il advienne ces prochains jours, titre de champion ou pas, le joueur aux 319 rencontres de NHL ne gardera de Mulhouse « que de bons souvenirs ». « Le niveau du championnat français m'a agréablement surpris. Et puis j'ai rencontré tellement de personnes sympathiques ici, assure-t-il. L'expérience aura été comme je l'espérais : enrichissante. Vous savez, j'ai aussi beaucoup appris à Mulhouse ». Joueur d'exception (il a terminé meilleur compteur de la Ligue avec 47 points en 22 matches), homme simple et disponible, Steven Reinprecht a fait l'unanimité autour de lui en moins de temps qu'il ne lui faut pour tromper une défense entière. « Dans le vestiaire comme sur la glace, il est un exemple pour tout le monde », répète à l'envi son coach, Christer Eriksson. Dans la patinoire de l'Illberg, les « Steven, Steven ! » résonneront donc pour la dernière fois ce soir. « Et forcément, dit-il, ça me rendra un peu triste. Mais la vie continue. Et puis il y a ce titre… » Ce titre qui rappellerait à tout jamais qu'un beau jour de 2004, un champion du monde canadien a posé ses valises à Mulhouse.</span>
<span style='color:blue'>Pas de poisson les Scorpions
La finale de la Ligue Magnus, disputée au meilleur des trois matches, débute aujourd'hui (20 h) à l'Illberg. Sur sa glace et avant de poursuivre la série du côté de Tours, le HC Mulhouse n'a pas le droit à l'erreur. Il doit vaincre.
Depuis la qualification pour la finale, décrochée samedi dernier face à Rouen, ils sont plusieurs Scorpions à scruter le calendrier avec impatience. « Les jours deviennent de plus en plus longs, c'est terrible, soupirait, hier encore, l'attaquant Juho Jokinen à la sortie de l'entraînement. Maintenant on a vraiment hâte d'y être et de mordre dans cette finale ». Aujourd'hui, donc, ils y sont. Ce soir, plus précisément, le HC Mulhouse va lancer son ultime défi de la saison face à Tours et rentrer de plain-pied dans la première finale de son histoire. Un événement qui a créé une véritable effervescence autour et au sein du club mulhousien ces derniers jours. « Plusieurs équipes de la télé se sont succédé, le bureau du club a été pris d'assaut, Reinprecht est beaucoup sollicité et, d'une manière générale, la température ne cesse de monter, explique l'entraîneur mulhousien, Christer Eriksson. On découvre ce qu'est un événement. L'important désormais, c'est de garder les pieds sur terre et de jouer notre meilleur hockey dès ce vendredi ».
« Ça va être un terrible combat »
Pour précisément « garder les pieds sur terre », les Scorpions pourront s'appuyer sur une méthode assez simple. Celle-ci consistera à se souvenir des deux défaites concédées face à ces mêmes Tourangeaux lors de la phase régulière (3-2 à Tours et 5-3 à l'Illberg). « C'est la seule équipe qui a nous a battus à chaque fois, souligne le Canadien Greg Day. On sait donc que cette série sera terrible de la première à la dernière minute. Tours, c'est costaud, ça joue très physique. On se souvient avoir eu du mal à bouger leur défense. Ils ont aussi un super gardien (Sopko). Ça va être forcément très serré ». Face à une formation tourangelle arrivée à la seconde place de la phase régulière et qui vient de s'offrir le scalp de Grenoble en demi-finale, les Mulhousiens s'attendent légitimement à souffrir. Mais la spirale positive dans laquelle ils se trouvent depuis l'entame des play-offs leur donne confiance et courage. « On a montré de quoi nous étions capables face à Briançon et Rouen, rappelle Christer Eriksson. Comme Tours, mon équipe sait gagner avec la "gnac" et les tripes. Cela va être un terrible combat entre deux adversaires capables de l'emporter. Celui qui se montrera le plus opportuniste, le plus rigoureux, sera champion de France ». Si Tours prend évidemment un malin plaisir à mettre en exergue l'armada offensive du HCM et à répéter son statut « d'outsider » pour cette finale inédite, il n'en disposera pas moins d'un avantage : celui de pouvoir évoluer à domicile en cas de troisième et dernier match. Un véritable bonus quand on sait que les Diables noirs sont quasiment invincibles sur leur petite glace (2 défaites en 19 matches depuis le début de saison). Tours peut devenir champion de France en gagnant tout à domicile. Le HCM, lui, devra impérativement gagner sur les bords de la Loire. Deux fois en cas de défaite ce soir, une fois en cas de succès. « Alors évidemment, ce premier match va avoir une importance cruciale, dit Christer Eriksson. Mais on ne va pas changer notre manière d'aborder les matches les uns après les autres. On sera au combat du début à la fin et puis c'est tout. On fera les calculs plus tard. Je n'ai pas besoin de motiver les gars. Ils veulent être champions et vont tout faire pour le devenir .</span>
Et encore un bel article sur Steven Reinprecht:
<span style='color:blue'>Reinprecht : les adieux à l'Illberg
C'est avec une « pointe de tristesse » que Steven Reinprecht disputera tout à l'heure son dernier match sur la glace mulhousienne.
Les 2000 spectateurs qui garniront ce soir les gradins de la patinoire mulhousienne seront des privilégiés. Et ce à double titre. Ils auront d'abord la chance d'assister aux premiers pas du HC Mulhouse dans une finale de championnat de France. Mais ils seront aussi les derniers à pouvoir admirer, pendant 60 minutes au moins, le génial talent de Steven Reinprecht sur la glace de l'Illberg. C'est bien connu, toutes les histoires ont une fin, même les plus belles. Celle d'un champion du monde canadien débarqué sur le sol alsacien à l'automne 2004 pour prendre part à une exotique Ligue Magnus, dont il ignorait tout avant de traverser l'Atlantique, est en passe de se terminer.
« L'Espagne m'attire »
Lundi prochain, mardi au plus tard, lorsque le nouveau champion de France sera connu, Steven Reinprecht tournera en effet la page mulhousienne et même française. Prêt à vivre de nouvelles aventures, dans son club de Calgary, si la NHL reprend ses droits, ou ailleurs. Lové dans le canapé rouge qui décore la salle de repos des Scorpions, l'intéressé dit « ne pas trop savoir ». A quelques heures de faire ses adieux au public mulhousien, il préfère d'ailleurs ne pas trop y penser. « Il y a d'abord un titre à aller chercher contre Tours, glisse-t-il timidement. J'aimerais vraiment aller au bout avec cette équipe et gagner ce premier titre dans l'histoire du club. Après je ne sais pas exactement ce que je ferai. Je vais probablement voyager un petit peu. L'Espagne m'attire. J'attendrai de savoir si je suis retenu avec l'équipe du Canada pour les prochains Mondiaux, auquel cas je retournerai rapidement travailler en Amérique ».
« J'ai beaucoup appris à Mulhouse »
Quoiqu'il advienne ces prochains jours, titre de champion ou pas, le joueur aux 319 rencontres de NHL ne gardera de Mulhouse « que de bons souvenirs ». « Le niveau du championnat français m'a agréablement surpris. Et puis j'ai rencontré tellement de personnes sympathiques ici, assure-t-il. L'expérience aura été comme je l'espérais : enrichissante. Vous savez, j'ai aussi beaucoup appris à Mulhouse ». Joueur d'exception (il a terminé meilleur compteur de la Ligue avec 47 points en 22 matches), homme simple et disponible, Steven Reinprecht a fait l'unanimité autour de lui en moins de temps qu'il ne lui faut pour tromper une défense entière. « Dans le vestiaire comme sur la glace, il est un exemple pour tout le monde », répète à l'envi son coach, Christer Eriksson. Dans la patinoire de l'Illberg, les « Steven, Steven ! » résonneront donc pour la dernière fois ce soir. « Et forcément, dit-il, ça me rendra un peu triste. Mais la vie continue. Et puis il y a ce titre… » Ce titre qui rappellerait à tout jamais qu'un beau jour de 2004, un champion du monde canadien a posé ses valises à Mulhouse.</span>
Scorpions Champions !!! Votre joie nous la partageons, notre joie nous vous la dédions !!!
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seb the black devil
- Minime
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merci pour les article svensk
au fait tu fai le deplacement a tours?
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