je suis d'accord sur une partie de la réponse de lanarre, mais pour moi ils sont plus nombreux a avoir un niveau de jeu limité en magnus ceux qui n'ont aucune culture tactique et qui n'essai même pas de progresser sur un de leur problème c'est juste pas possible. et la ou je ne suis pas d'accord c'est qu'avec le passage a 44 match et bas il joue de plus en plus quand même et c'est de pire en pire.lanarre a écrit : ↑03 juil. 2019, 09:53Pour moi ça arrive qu'un "moin bon" JFL dans un club devienne meilleur ailleurs.nimb a écrit : ↑02 juil. 2019, 22:35 Question : est-ce que çà arrive qu''un "moins bon" JFL dans un club, devienne par la suite meilleur ailleurs (meilleur encadrement, meilleur environnement, mieux dans sa tête, mieux dans la tactique du coach, etc..) , ou est-ce vraiment une tare incurable quelque soit le club où il évoluera?
L'exemple qui me vient en tête, c'est Kévin Dusseau : décevant à Amiens et Bordeaux, ce joueur s'est métamorphosé en revenant à Rouen il y a 2 ans grâce à une préparation physique adaptée, une assignation à un rôle clair sur la glace et une tactique d'équipe convenant mieux à son profil de jeu.
Après, il faut reconnaître que quelque soit l'environnement/club dans lequel ils évoluent, il y a quelques JFL dont le niveau est limite pour la Magnus : ils plafonnent sportivement et n'ont pas (ou très peu) de marge de progression/amélioration tactique, technique ou physique. Leur temps de jeu est très limité (sauf cas de force majeur sportif : blessures, absences, ...) et ils ne donnent l'impression d'être là que pour faire le nombre.
Je me souviens d'une époque à Rouen où on parlait de l'hypothétique 4ème ligne offensive dont on ne voyait jamais la couleur sur la glace (ou très peu souvent). Et bah, j'ai l'impression qu'avec certains JFL c'est la même chose (quelque soit le club où il évolue) : on les voit très rarement sur la glace et on un rôle très obscur dans leur effectif.
Ceci étant dit, il ne me semble pas qu'ils soient légions ces JFL qui servent à faire le nombre : les clubs recherchent de plus en plus des jeunes joueurs en devenir à développer ou des vrais profil "joueur de soutien" qui trouvent largement leur place dans le bottom 6 (devenu incontournable pour les équipes qui jouent le top 8).
explique moi comment un jeune joueur canadiens de 21 ans et capable d'avoir des responsabilités alors que le même club ne donnerait pas ça a un JFL du même âge.