Bonsoir, désolé si mes mots ont pu être perçus comme assez virulents. Surtout que je suis d'accord avec vous sur les délais nécessaires pour analyser les choses correctement ainsi que la disponibilité dont font preuve les bénévoles de la CNSCG .Lame Aesir a écrit : ↑06 sept. 2019, 15:06Je parlais juste des documents supplémentaires à remettre après la conciliation. A moins qu'ils n'aient aucun impact sur la décision à prendre, même s'ils sont peu nombreux, il faut toujours du temps pour les analyser et en débattre pour les bénévoles. Je n'ai pas du tout suivi l'affaire, je voulais juste appuyer sur le dernier mot de la phrase précédente.LHC:Ohlas m'a tuer a écrit : ↑06 sept. 2019, 13:40Encore une fois, NON, les documents ont été transmis bien avant, c'est la commission qui a refusé de prendre en compte une facture qu'elle juge non recevable. Les documents demandés pour le 5 septembre sont d'autres documents (peut être une nouvelle clé de répartition de la créance mise en cause ou bien des questions sur le budget 2019/2020 qui pour moi n'a pas été étudié (au moins de manière approfondi) par CNSCG (ce qui est normal, vu que la commission invalidait le club))Lame Aesir a écrit : ↑06 sept. 2019, 10:20
Les documents ont été transmis le 3 septembre. Il faut savoir que la commission est constitué de bénévoles qui ont un métier et une vie à coté donc. Il faut le temps de les analyser, ça ne se lit pas comme une BD, les bénévoles doivent trouver du temps libre pour ça.
Il faut également trouver une date commune où ils sont disponibles pour faire siéger la commission.
Difficile de leur reprocher quelque chose, surtout quand on sait que les documents auraient dû êtres envoyés bien plus tôt et que les gens doivent faire ça en plus de ce qui était prévu normalement.
10 jours ce n'est pas énorme même je trouve.
Concernant la saison 2018/2019, le LHC étant sous COF avec suivi mensuel (et bien sûr si le club a joué le jeu), la grande majorité des documents étaient disponibles mois après mois.
Faire siéger une commission bénévoles non prévue ou demander à ses membres de dégager du temps pour une activité, ça ne consiste pas à juste se dire : "ba ya qu'à le faire". Ce que font beaucoup de gens qui lèvent rarement leurs fesses de leur canapé ou de Facebook.
Pour le reste, je ne connais pas du tout la situation de Lyon à l'exception ce que j'ai lu sur ce fil.
J'ajouterai que le "ba ya qu'à le faire" va souvent de pair avec le "yaka fokon" qui irriguent nos sociétés du tout "tout de suite" et la communication à tout va...